Dans mon pays il y a une écolière. Elle n’attendais rien de vous et pourtant son cœur de rubis ne veut que la paix pour vous, pour eux, pour tous. Si vous la rencontrez, dites-lui que je suis passé, que je ne reste pas et que je partirai un jour loin, très loin ailleurs.
Et je veux qu’on lui rende son laser pour que mes tripes et mon cerveau, enfin redevenus lumières, soient avec elle pour l’éternité.
(1985)
Pour toi, celle qui hante mes pensées, voici un voyage sensuel aux portes de mon inconscient.
mercredi 31 août 2011
Ti Amo
Princesse, toi qui de ma vie fais ce que tu veux, je te dédie ces mots qui ont fait pleurer tant de lits. Ces mots sacrés que l’on ne dit que pour celle qui fait dériver nos océans.
Toi, vraie maîtresse du monde, toi qui détient l’avenir de la race dans tes chairs de lune et de soleil, toi prêtresse qui domine sans le savoir mon pauvre corps infirme, toi qui sais le secret des choses, toi qui sais comprendre, consoler, accepte ces mots que je te dis au creux de ton corps.
Je t’aime.
(1983)
Toi, vraie maîtresse du monde, toi qui détient l’avenir de la race dans tes chairs de lune et de soleil, toi prêtresse qui domine sans le savoir mon pauvre corps infirme, toi qui sais le secret des choses, toi qui sais comprendre, consoler, accepte ces mots que je te dis au creux de ton corps.
Je t’aime.
(1983)
mercredi 2 mars 2011
Pêcher mignon
R- appel
De la dentelle entrevue,
De la soie aperçue,
Ces liens, qui me tuent,

Appellent c’est mon vœu,
Le voile noir sur mes yeux.
M’évader en d’autres lieux !

Chérir ce souvenir,
De te sentir frémir,
Forcée à t’abstenir.

Le conte est beau,
Et ton regard est clos
Tu es déjà en eau.

Un effeuillage lent,
L’aide de mes dents,
Je découvre tes talents !

Oser
Oser t’exciter
Oser enfin te regarder

Me souvenir, oui, me souvenir,
De ton sourire,
De ton désir,

Rester humain,
Avant que nos mains,
Et les jeux d’airain,

Ne nous emmène jusqu’à demain
De la soie aperçue,
Ces liens, qui me tuent,

Appellent c’est mon vœu,
Le voile noir sur mes yeux.
M’évader en d’autres lieux !

Chérir ce souvenir,
De te sentir frémir,
Forcée à t’abstenir.

Le conte est beau,
Et ton regard est clos
Tu es déjà en eau.

Un effeuillage lent,
L’aide de mes dents,
Je découvre tes talents !

Oser
Oser t’exciter
Oser enfin te regarder

Me souvenir, oui, me souvenir,
De ton sourire,
De ton désir,

Rester humain,
Avant que nos mains,
Et les jeux d’airain,

Ne nous emmène jusqu’à demain

Bouquet Final
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